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"Une guerre brûlante, qui ne sera jamais déclarée. Elle oppose les élites aux peuples et se déroule sur tous les continents, dans tous les systèmes politiques. Des groupes industriels qui abusent de leurs employés et qui empoisonnent leurs clients, qui dégagent des bénéfices colossaux. Des élus qui trahissent leurs concitoyens sitôt au pouvoir. Parfois, persuadés de gagner, ils annoncent la couleur de leur forfaitures futures avant même que les scrutins aient eu lieu. Des peuples sans défense, abandonnés par toutes les organisations censées être à leur service. Entre les deux, le premier front de la guerre, des médias, des experts, des éditorialistes, des journalistes équivoques, qui ont pris fait et cause pour les bourreaux. Pour entretenir le simulacre d'une humanité arrivée à bout de course, il faut distordre le sens des mots, les valeurs universelles, le primat de la justice, le but de la connaissance, de l'information, le socle de la vérité. Comment appelle-t-on un processus qui repose sur un plan écrit, disponible à la lecture, qui a une traduction pratique et qui réussit ? Une théorie du complot. Aux peuples, cette ""théorie"" offre trois options: la violence, la pire, perdue d'avance, contre des forces surpuissantes et surarmées; la résignation, individualiste, suicidaire; celle qui laisse une chance de succès pour les grandes multitudes face aux puissances militaro-industrielles, financières, administratives, politiques, technologiques et médiatiques repose sur l'intelligence coordonnée. L'on pourrait se poser en n'importe quel parallèle du globe et observer les mêmes processus destructeurs à l'oeuvre. De façon plus perverse qu'ailleurs, de part et d'autre de la Méditerranée, deux États exercent un magistère empoisonné. Le destin des Algériens et des Français est entre les griffes d'une ultra-minorité de riches prédateurs, secondés par une petite cohorte d' intellectuels négatifs, une élite toxique. Après la Genèse du terrorisme géostratégique, où l'on a vu la prédation économique et le djihadisme d'États ravager l'Afrique, le présent ouvrage aborde l'autre lieu stratégique du crime de masse qui ne dit pas son nom: les médias. Là, tandis que le rapt s'exaspère, les mêmes magnats insatiables, Bolloré, Drahi, Bouygues, Arnault, Pinault, Dassault, etc., escamotent leurs forfaits sous un voile de désinformation, de mensonge calculé, d'occultation chirurgicale, et un vacarme de médiocre distraction. Sur tous les plateaux de débats, sur toutes les pages de la presse écrite, sur toutes les vitrines des éditeurs, leurs agents sévissent: Boualem Sansal, Kamel Daoud, Yasmina Khadra, Mohamed Sifaoui, Tahar Ben Jelloun, etc., ont mainmise totale sur l'image et la parole du Maghreb en France. Du moment que cela rapporte, ils sont prêts à toutes les infamies; adeptes de la supériorités de certaines races sur d'autres, certains surtout de l'infériorité de la leur, leur courage leur dicte de mettre leur engagement au service des puissants. Leur recette fait froid dans le dos: l'éradication . Comme il se doit pour des antisémites qui se cachent, leur épopée prend souvent la forme d'une croisade ultra-sioniste que n'oseraient même pas les faucons de la droite religieuse israélienne. Ni le vol, ni le viol, ni même le massacre à l'occasion, ne leur répugne; ils sont pour la plupart des plagiaires, tel Tahar ben Jelloun dont une seule oeuvre est passée à travers le filet du scandale: L'Homme rompu; l'on découvre ici qu'il est, comme tous ses autres livres, le résultat d'un rapt immonde. Sous l'aile bienveillante de tous les agents d'influence de France et d'ailleurs, ces intellectuels toxiques radotent, sûrs de leur fait. Pour exposer leurs forfaits, leur perversité, leur médiocrité, il suffit d'aborder sans oeillères leur littérature fétide."

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9798375872049

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